[conseil de lecture : ne vous arrêtez pas au premier paragraphe, c’est un court billet à double détente]
L’un des avantages du papier ? Le manque de place oblige a une sélection. Le selfie Cameron – Thorne Schmidt – Obama n’y aurait pas eu sa place. Epsilonesque scène d’un événement, il ne reflète en aucun cas la réalité des grands moments vécues par les personnes présentes dans le stade . A la trappe, donc, la photo.
Pour autant, cela signifie aussi une chose plus dramatique : quand un média a de la place, il publie un peu tout et n’importe quoi sous couvert de multiplier les angles. Quand il ne l’a pas fait sur le [...]
Une petite image, rapide, mais efficace.
A la place il peut utiliser Google et quelques astuces bien pratiques.
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Les événements publics sont désormais documentés par les participants. Textes, photos, vidéos, les ressources ne manquent pas. Entre cette matière première et la facilité à entrer en contact avec ces témoins, certains journalistes dans les rédactions classiques ont l’impression que le journaliste qui bosse avec internet n’a pas besoin de sortir. Alors, pourquoi continuer à aller sur place ? Quatre raisons qui confirment notre rôle de journaliste « sur le terrain » – les vôtres sont les bienvenues en commentaire.
Objectif : savoir si l’image sur laquelle vous venez de tomber, qui semble tout à fait exceptionnelle, est utilisée sur d’autres sites. Ou, à l’inverse, savoir qui a piqué cette photo que vous avez fièrement publiée sur votre site.