Les événements publics sont désormais documentés par les participants. Textes, photos, vidéos, les ressources ne manquent pas. Entre cette matière première et la facilité à entrer en contact avec ces témoins, certains journalistes dans les rédactions classiques ont l’impression que le journaliste qui bosse avec internet n’a pas besoin de sortir. Alors, pourquoi continuer à aller sur place ? Quatre raisons qui confirment notre rôle de journaliste « sur le terrain » – les vôtres sont les bienvenues en commentaire.
Bonjour à tous,
aujourd’hui, c’est vendredi, et l’arrivée du week-end est synonyme de jeux en tout genre. Oui, en tout genre. Aiguisez votre sens de la lecture avec le court article ci-dessous.
Lisez-le lentement afin de voir la contradiction, et expliquez quelle information doit être validée. Vous avez 2 heures et les commentaires ci-dessous pour répondre. Allez hop, c’est parti !
Objectif : savoir si l’image sur laquelle vous venez de tomber, qui semble tout à fait exceptionnelle, est utilisée sur d’autres sites. Ou, à l’inverse, savoir qui a piqué cette photo que vous avez fièrement publiée sur votre site.
Les faux comptes existent depuis toujours sur le net. Du faux Jésus Christ sur facebook en passant par Homère sur twitter, rien n’est plus facile que de créer un fake pour s’amuser un peu. Ou, plus pervers, tromper la confiance des internautes…
A priori, un journaliste n’est pas qu’un simple internaute. Il doit évidemment vérifier ses sources, et plutôt deux (trois) fois qu’une… Nous vous invitons à lire l’article de Rue89 « Ma vie de « fake » sur twitter », qui raconte combien il est facile d’envoyer de fausses informations en se faisant passer pour une personnalité.
De Vanessa Demouy à Robert Hue en passant [...]