Les 82 pages de l’ouvrage sont parsemées de bonnes pratiques et d’exemples qui permettent de mieux structurer un travail d’investigation. Si le livre date un peu – 2011 – il reste pour autant valable (oui, j’ai trainé avant de le lire vraiment ^^)
Ces bons conseils sont sélectionnés par mes soins, ils sont donc forcément subjectifs : je vous encourage vivement à télécharger le pdf de « L’enquête par hypothèse, manuel du journaliste d’investigation » sur le site de l’UNESCO ou de son auteur, Mark Lee Hunter.
Les événements publics sont désormais documentés par les participants. Textes, photos, vidéos, les ressources ne manquent pas. Entre cette matière première et la facilité à entrer en contact avec ces témoins, certains journalistes dans les rédactions classiques ont l’impression que le journaliste qui bosse avec internet n’a pas besoin de sortir. Alors, pourquoi continuer à aller sur place ? Quatre raisons qui confirment notre rôle de journaliste « sur le terrain » – les vôtres sont les bienvenues en commentaire.